Vampire Buccaneers : Sea, Blood and Foot !

Cover du Kickstarter Vampires, Egyptians and Necromancers for Fantasy Football par Punga Miniatures

Je viens de monter les figurines en résine reçues dernièrement suite à mon pledge sur les Vampire Buccaneers. Accrochez vous bien : une équipe de bloodbowl composée de vampires pirates. Ca vend du rêve !

La “female Vampire” a vraiment la superclasse avec sa coupe de cheveux hyper-moderne. Rien que cette fig justifie le pledge.

Mais en fait, au-delà des quelques figurines qui m’ont fait pledger (entre autre la female vampire, la mascotte gobelin et la cheerleader vampire), la qualité de sculpture et de tirage de ces figurines est remarquable. Au point où j’ai regretté de ne pas avoir pris avec l’équipe égyptienne : “The sons of Anubis”, à base de momie et de squelettes…

Le “vampire Lord” est très stylé aussi

Punga Miniature est donc une marque de figurines russo-germanique à surveiller avec de la qualité et de l’originalité au rendez-vous. Si vous voulez vous faire une armée proxy de skaven, ou pour ceux qui cherchent des figs de chiens anthropomorphes, les canitaurs, je vous laisse suivre les liens. La caniche-sorcière est top, le chow-chow brasseur et le garde Corgi sont trop stylés…

Je ne savait pas que l’on pouvait jouer des troupes aéroportées à BloodBowl. Mais il doit certainement y avoir une règle pour ça…
Les joueurs de ligne, classique, mais bien sculptés
avec chacun leur personnalité…
La fameuse cheerleader vampire. Le coach, vaut aussi son pesant de cacahouètes.
Le mage et sa forme bestiale de gentil minet… Entre rigolote et dérangeante !
Last but not Least : La mascotte gobelin déguisée en chauve-souris…

Maracaibo : Un trésor caché dans la jungle des règles

Nous avons testé à trois joueurs, le jeu Maracaibo que je viens d’acquérir sur Okkazeo. Le jeu est fort bien classé sur Board Game Geek (42éme) et fait donc partie à ce titre, comme tous les titres du top 100 de BGG, de ma wishlist.

Mais Maracaibo est un jeu qui se mérite car il est comme un joyaux pris dans une gangue de règles qui bien qu’étant fluides lors de la partie doivent être défrichées durant leur apprentissage. Le livret de règle est parfois bien obscur et c’est deux pages plus loin qu’on finit par comprendre le mécanisme de règle exposé deux pages plus tôt. Mais ne vous découragez pas ! Insistez ! Creusez votre chemin dans les règles et vous déboucherez enfin une heure plus tard à l’eldorado !

Car le jeu est magnifiquement plaisant. A tel point qu’il fait partie de ces jeux où l’on prend du plaisir même lorsque l’on est loin au score. Les mécanismes du jeu font que l’on enchaîne avec entrain amélioration de son navire, enrôlement de membres d’équipage, exploration dans la jungle, quêtes aventureuses, combats pour la prises de cité, placement de ses espions, livraison de marchandises dans toutes les caraïbes, et tel un vrai corsaire, on change d’allégeance aux trois couronnes d’Espagne, de France et d’Angleterre, au gré du vent où nous porte notre navire.

Et encore, avons-nous fait qu’une partie en mode normal. Car il existe un mode “héritage” où les quêtes s’enchainent selon un fil rouge scénarisé qui introduit un aspect narratif dans un jeu de plateau où, sans être coopératif, la compétition entre joueur n’est pas farouche mais se passe surtout dans la course pour se faire bien voir des trois nations dirigeantes.

Une grande découverte donc et j’ai hâte de reprendre les parties en mode “héritage” pour découvrir l’histoire qui commence par “un mal mystérieux s’est répandu dans Portobello. Des pillards ont profité de la situation pour envahir la ville. Gloria, la soeur de votre premier lieutenant, vit ici. Elle a besoin de votre protection”…